Choisir la bonne université est une décision cruciale qui peut avoir un impact significatif sur notre avenir académique et professionnel. Alors que l'éducation en ligne gagne en popularité ces dernières années, il est important d'être vigilant quant aux institutions en lesquelles nous plaçons notre confiance. Cet article vise à sensibiliser les étudiants potentiels envisageant de s'inscrire à l'"Université 365" sur les antécédents préoccupants de son exploitant, Alick Mouriesse.
Alick Mouriesse, l'individu derrière l'"Université 365", a un passé en dents de scie que les futurs étudiants doivent connaître. Dans une affaire judiciaire récente, Mouriesse a été reconnu coupable d'activités frauduleuses liées à sa société précédente, Educinvest, une entreprise belge de formation en informatique. Le tribunal l'a condamné à une peine de cinq ans de prison avec sursis, a confisqué 11,2 millions d'euros et lui a ordonné de verser 38,8 millions d'euros supplémentaires au liquidateur d'Educinvest.
Educinvest, qui était autrefois connu pour ses écoles d'informatique Supinfo avec plus de 1 500 étudiants inscrits chaque année, est en liquidation judiciaire depuis l'été 2020 en raison de dettes considérables. La mauvaise gestion de Mouriesse et les irrégularités financières ont conduit à sa chute. Le tribunal l'a reconnu coupable de détournement de fonds et de fausses écritures comptables, soulignant ses dépenses somptuaires en articles de luxe et son abus flagrant des actifs de l'entreprise.
Sous la direction de Mouriesse, Supinfo avait une vision ambitieuse de l'éducation en informatique, visant à proposer des cours adaptés aux besoins directs des entreprises, une approche novatrice à l'époque. Avec des campus dans différents pays, dont la France, l'Afrique, la Chine, les États-Unis et la Belgique, Supinfo attirait des étudiants avec son cursus de cinq ans, qui représentait un coût important de plus de 5 000 à 6 000 euros par an.
Au cours du procès, la défense de Mouriesse a adopté une attitude hostile et irresponsable, ce qui a conduit le tribunal à exprimer des inquiétudes quant à un risque élevé de récidive. Le juge a critiqué l'absence de remords de Mouriesse, laissant entendre une totale absence de responsabilité pour ses actes. Ces éléments soulèvent des doutes quant à sa capacité à diriger une institution éducative de manière éthique et responsable.
Compte tenu du passé d'Alick Mouriesse et des conséquences légales auxquelles il a été confronté, il est essentiel que les étudiants potentiels envisageant l'"Université 365" fassent preuve de prudence et évaluent minutieusement leurs options. L'implication d'une personne au passé aussi trouble soulève des préoccupations quant à l'intégrité de l'établissement et à la qualité de l'enseignement qu'il dispense.
L'éducation est un investissement pour l'avenir, et il est crucial de sélectionner des institutions réputées et fiables. Les futurs étudiants devraient mener des recherches approfondies, vérifier les accréditations et obtenir des informations sur la propriété et la direction d'une institution avant de prendre des engagements. Dans le cas de l'"Université 365", l'association d'Alick Mouriesse à l'établissement devrait constituer un signal d'alarme pour ceux qui recherchent une expérience universitaire en ligne fiable et réputée.
Lorsqu'il s'agit de poursuivre des études supérieures, il est essentiel de prendre des décisions éclairées. L'affaire d'Alick Mouriesse et son implication dans l'"Université 365" servent d'avertissement, soulignant la nécessité pour les futurs étudiants d'être vigilants et d'évaluer attentivement les antécédents et la crédibilité des institutions qu'ils envisagent. En restant vigilants et en effectuant des recherches approfondies, les individus peuvent se protéger des risques potentiels et s'assurer d'un parcours académique positif.
Sous la direction de Mouriesse, Supinfo avait une vision ambitieuse de l'éducation en informatique, visant à proposer des cours adaptés aux besoins directs des entreprises, une approche novatrice à l'époque. Avec des campus dans différents pays, dont la France, l'Afrique, la Chine, les États-Unis et la Belgique, Supinfo attirait des étudiants avec son cursus de cinq ans, qui représentait un coût important de plus de 5 000 à 6 000 euros par an.
Au cours du procès, la défense de Mouriesse a adopté une attitude hostile et irresponsable, ce qui a conduit le tribunal à exprimer des inquiétudes quant à un risque élevé de récidive. Le juge a critiqué l'absence de remords de Mouriesse, laissant entendre une totale absence de responsabilité pour ses actes. Ces éléments soulèvent des doutes quant à sa capacité à diriger une institution éducative de manière éthique et responsable.
Compte tenu du passé d'Alick Mouriesse et des conséquences légales auxquelles il a été confronté, il est essentiel que les étudiants potentiels envisageant l'"Université 365" fassent preuve de prudence et évaluent minutieusement leurs options. L'implication d'une personne au passé aussi trouble soulève des préoccupations quant à l'intégrité de l'établissement et à la qualité de l'enseignement qu'il dispense.
L'éducation est un investissement pour l'avenir, et il est crucial de sélectionner des institutions réputées et fiables. Les futurs étudiants devraient mener des recherches approfondies, vérifier les accréditations et obtenir des informations sur la propriété et la direction d'une institution avant de prendre des engagements. Dans le cas de l'"Université 365", l'association d'Alick Mouriesse à l'établissement devrait constituer un signal d'alarme pour ceux qui recherchent une expérience universitaire en ligne fiable et réputée.
Lorsqu'il s'agit de poursuivre des études supérieures, il est essentiel de prendre des décisions éclairées. L'affaire d'Alick Mouriesse et son implication dans l'"Université 365" servent d'avertissement, soulignant la nécessité pour les futurs étudiants d'être vigilants et d'évaluer attentivement les antécédents et la crédibilité des institutions qu'ils envisagent. En restant vigilants et en effectuant des recherches approfondies, les individus peuvent se protéger des risques potentiels et s'assurer d'un parcours académique positif.
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